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Fé€RiE

2 juin 2005

LEs ONdiNEs

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2 juin 2005

LEs ONdiNEs

L’Ondine

Jadis au matin du jour de l’an, une porte s’ouvrait dans un rocher au bord d’un lac du Pays de Galles et ceux qui osaient y entrer découvraient un passage secret menant à une petite île au milieu des eaux. Ils se retrouvaient alors dans un merveilleux jardin habité par des Ondines qui leur faisaient fête, leur offraient toute sorte de fruits, fleurs et leur faisaient entendre une musique délicieuse.

Les Ondines révélaient à leurs visiteurs mille secrets étonnants et les invitaient à rester à leur gré. Néanmoins, l’île devait rester ignorée et rien ne pouvait être emporté.

Un jour il arriva qu’un de ces visiteurs mit dans sa poche une fleur qu’on lui avait offerte, croyant qu’elle lui porterait chance. Mais à l’instant précis où le voleur mit le pied sur la terre « profane », la fleur disparut et l’homme perdit connaissance. Les Ondines firent leurs adieux aux autres visiteurs avec leur courtoisie habituelle, et depuis ce jour la porte du jardin merveilleux est à jamais fermée.

Les Ondines sont des Esprits aquatiques du Pays de Galles, de merveilleuses Fées des Eaux qui prennent parfois des mortels pour époux. Une légende bien connue conte l’aventure d’un jeune homme qui faisait paître son troupeau au bord d’un petit lac dans la région des montagnes Noires. Un jour il vit sur les eaux du lac, la plus enchanteresse des créatures qui ramait lentement de-ci, de-là dans une barque dorée. Il éprouva aussitôt un grand amour et lui offrit un peu du pain qu’il avait apporté de chez lui pour son repas de midi. Elle répondit que le pain était trop dur et disparut dans les profondeurs du lac.

Le lendemain, la mère du jeune homme lui donna un peu de pate non cuite qu’il offrit à la Fée, mais elle lui répondit que c’était trop mou et disparut une fois encore. Le troisième jour, sa mère lui donna du pain à peine doré, et elle l’accepta. Mais il y eut tout à coup trois personnages surgis des eaux : un vieil homme escorté de deux jeunes filles, aussi belles l’une que l’autre. Elles étaient jumelles et leur père dit au jeune homme qu’il lui donnerait la fille qu’il aimait s’il était capable de la désigner.

Le paysan, désespéré, allait abandonner quand l’une d’elles eut un léger mouvement du pied ; il reconnut sa pantoufle et ainsi gagna sa main.

La Fée reçut en mariage une fort belle dot et ils furent très heureux ensemble. Mais on avait prévenu le jeune homme qu’il perdrait sa belle épouse s’il la frappait trois fois sans raison, et il se trouvait que malgré leur bonheur indiscutable, l’Ondine avait parfois des manières étranges de son peuple : elle pouvait pleurer à un mariage, de même que rire et chanter aux funérailles d’un enfant, et cela fit que son mari bien-aimé lui en fit trois fois le reproche d’une tape plus tendre que violente, mais qui suffit néanmoins à les séparer. Elle ne délaissa pas pour autant ses fils et leur apprit les secrets de nombreuses guérisons si bien qu’ils devinrent des médecins célèbres.

La légende raconte qu’un des lacs du Pays de Galles cache une ville engloutie. C’est dit-on, la demeure de Gwrageld Annun (Gwrageth Anoon). On a vu des tours et des remparts sous la surface de l’eau, et certains ont même entendu le tintement des cloches.

 

2 juin 2005

PEtITe SToRiE F€eRIeTOi Ki PAssE PAr LA !!

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La légende de Oisin 

Finn, le chef des légendaires guerriers fenians, en Irlande, avait un fils, Oisin, l'un des rares mortels à être invités sur Tir Nan Og. un jour que les fenians étainet à la chasse, une très belle dame s'approcha d'eux. C'était Niamh aux cheveux d'Or, la fille de Manannan. Parmi les chasseurs elle choisit Oisin pour en faire son amant. Elle l'invita à monter sur la croupe de son destrier, puis elle gagna la mer et chevaucha ensuite sur les crêtes des vagues vers l'île enchantée de Tri Nan Og, " la plus merveilleuse contrée et la mieux prisée qui soit sous le soleil". Au cours de leur voyage, des spectacles merveilleux s'offrirent à leurs yeux, des palais enchantés s'élevaient à la surface des eaux. Dans l'un de ceux-ci, Niamh demanda à Oisin de délivrer une demoiselle des Tuatha de Danann qui était prisonnière de Fomor, un démon des profondeurs marines. Oisin combattit Fomor et libéra la fille.

Ils atteignirent bientôt le pays de la Jeunesse où Oisin vécut avec son amante pendant trois siècles avant de se souvenir de sa patrie et des Fenians. Soudain l'envie de les revoir le prit et il demanda la permission de retourner sur sa terre natale. Niamh lui fournit pour le voyage un cheval enchanté, disant qu'à auncun prix ses sabots ne devaient toucher le sol. Oisin jura d'y prendre garde et sélança vers l'Irlande. Mais une fois rendu, il s'aperçut que rien n'était comme dans son souvenir: Finn et les Fenians n'étaient plus

qu'une légende, la bataille de Gabhra avait eu lieu et Saint Patrick avait converti le pays.Même les hommes luii semblaient différents, plus petits, presque nains comparés à ceux qu'il avait connus. Oisin aperçut trois de ces hommes qui s'acharnaient à soulever une grosse pierre. Il se pencha pour les aider d'une main, mais la sangle dorée de sa selle se rompit et il tomba à terre. Aussitôt le cehval disparu et Oisin se transforma en un viel homme aveugle.

Nombre de ballades racontent comment Saint Patrick découvrit Oisin gisant sur le sol, vieux et impuissant. Le Saint l'emmena chez lui et s'appliqua à convertir Oisin au chrsitianisme en lui décrivant le paradis que son repentir lui ferait gagner. Mais Oisin lui répondit qu'il ne concevait pas un paradis qui ne tiendrait pas en honneur les Fenians désireux d'y entrer, ni un dieu qui ne serait pas fier de compter Finn parmi ses amis. Et même si c'était possible, à quoi ressemblerait une vie éternelle où on ne pourrait ni chasser ni faire la cour aux belles dames? Il préférait cet enfer dont ses compagnons les Fenians, d'après Saint Patrick, subissaient les tortures, et mourir comme il avait vécu.

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2 juin 2005

Leurs origines sont nordiques et plus précisément

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Leurs origines sont nordiques et plus précisément celtiques, comme la plupart des mythes.
Leurs origines varient en fonction des pays.
Par exemple, en Island ils sont considérés comme des enfants d’Eve, des enfants cachés.
Et les elfes celtiques sont de toute petite taille (ne dépassant pas les 20 cm).
Mais ils sont tous d’accord pour dire que se sont des êtres de lumière (hormis les elfes noirs bien sur). 
Leur civilisation est dense, et  ce sont des guerriers magiciens, très habiles.

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Leur magie est associée aux éléments ;  vent, terre et eau.
C’est pour cela qu’ils peuvent voler, nager ou vivre sous terre, 111222333
mais ils sont toujours en osmose avec la nature.

Très friands de bijoux ils les confectionnent eux même mais sont attirés plus par le métal que par des pierres. Leur société est plutôt royaliste que démocratique, un roi par peuple, considéré comme le leader au combat.

La plupart du temps ils sont représentés par des femmes, car cette race est considérée comme une race pure et gracieuse, mais ils peuvent être homme ou femme. Dans cette civilisation les deux sexes combattent avec leurs  magies.

On les confond souvent avec les lutins, les gnomes ou les nains, mais se sont des êtres bons (à part les elfes noirs) qui défendent la nature.

Les elfes noirs ou elfes de la nuit sont considérés comme des êtres du mal. On connaît mal leurs origines ainsi que leurs motivations. Dans les contes de mythologie, ils sont souvent représentés avec de longs cheveux blancs, une peau brune des yeux rouges mais suivant leurs origines ils peuvent être soit très beaux ou soit très laids.

444On a longtemps cherché à découvrir la langue des elfes.
Un écrivain Britanique (Tolkien)
s’est penché sur le fait de créer le language des Elfes, qu’il nomme haut-elfique ou quenya.
Il compose un premier ouvrage linguistique sur cette langue en 1917, la Qenyaqetsa.
De nombreux ouvrages ont été édités sur se sujet. On retrouve aussi les elfes dans les contes fantastiques

2 juin 2005

LeS ELfES !! PEtITe CréAtuRE mé PA SI peTItE K sA !!

8191Les elfes sont des créatures fantastiques pouvant atteindre la taille d'un etre humain, contrairement à ce que l'on pense.

Leur milieu naturel est associé, la plupart du temps, aux forêts, car ce sont des créatures mystérieuses, discrètes et sauvages douées pour la magie et la pratique des armes magiques. Ils ont une espérance de vie d'une centaine d'années, voir même d'un millénaire.

On les identifie par leurs oreilles qui sont très grandes et pointues vers le haut. Mais peu de gens ont eu la chance d'en rencontrer sur leurs passages. Leurs origines restent à définir car plusieurs versions leur sont données.

Mais il semblerait que leur existance soit liée au faite d'une déesse et d'un dieu qui furent condamnés à rester une race d'enfants pure et bénite. Il existe 3 catégories d'elfes :


1 - Les NOLDOR
2 - Les SINDAR
3 - Les ELFES SYLVAIN

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2 juin 2005

La Légende de Tudur de Llangollen Tudur était un

La Légende de Tudur de Llangollen

Tudur était un berger paisible. Mais un jour il découvrit un groupe d’esprits occupés à danser au son d’un violon minuscule. Tudur voulut bien résister à cette musique ensorcelée mais finit par jeter en l’air son bonnet en criant : « Allons-y, joue donc, vieux diable ! » et se joignit à eux.

Aussitôt une paire de cornes poussa sur la tête du violoneux et une queue sortit de sous son manteau. Les autres esprits se changèrent aussitôt en boucs, en chiens, en chats et en renards tout en continuant de danser au son du violon, dans une cavalcade effrénée qui dura jusqu’au lendemain.

Tudur fut secouru par son maître qui le trouva seul, de toute évidence, mais en train de danser comme un dément. Quelques prières rompirent le charme et Tudur fut rendu aux siens.
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2 juin 2005

Le Cercle des Fées Il arrive fréquemment que les

Le Cercle des Fées

Il arrive fréquemment que les Elfes dans les prés fassent des rondes que l’on appelle « Cercle des Fées » et qui ne sont pas sans danger pour le mortel qui passerait auprès d’eux.

La mélodie ensorcelée des Esprits6 risque de l’attirer sans retour dans le cercle et cela, a l’instar du baiser des Elfes ou leur mets et leurs boissons, risque d’en faire à tout jamais un esclave du monde de Féerie.

Si un humain pose son pied dans le cercle des fées, il est contraint de se joindre à la folle ronde, et, si cette danse paraît courte, elle prend en fait des années de notre temps, voir plus encore.

Pour secourir le malheureux, il faut qu’un ami (tenu lui-même par un groupe de personnes), suive cette ronde, un pied dans le cercle et l’autre en dehors, pour pouvoir arracher aux esprits le malheureux prisonnier.

2 juin 2005

Sur les landes du soleil levant On raconte

Sur les landes du soleil levant

On raconte l’histoire d’une rencontre entre des contrebandiers et des esprits, au cours de laquelle les Korrigans jouèrent un rôle beaucoup plus effrayant. Une petite bande de contrebandiers descendit un soir à terre près de Long Rock, en Cornouailles.

Ils déchargèrent tout le butin de leur barque, gagnèrent la ligne de plus haute marée et trois d’entre eux partirent s’occuper de vendre leurs marchandises tandis que les trois autres, parmi lesquels se trouvait Tom Warren de Paul, connu comme l’un des plus hardis contrebandiers de son temps, s’allongèrent pour prendre du repos.

A peine furent-ils assoupis qu’ils furent réveillés par des sifflets perçants mêlés de tintements. Croyant que c’étaient là des jeunes gens venus faire la fête, Tom se leva pour les chasser. Il monta sur une dune un peu haute et vit à quelques pas de lui, dans un creux de dune, toute une troupe de gens vêtus de couleurs vives, pas plus hauts que des poupées, qui sautaient et dansaient à la lueur d’une multitude de lampes.

Sur un tertre au milieu des danseurs, un groupe petits vieux, tous barbus, soufflaient dans des harmonicas, tapaient sur des cymbales et des tambourins, jouaient de la guimbarde et soufflaient dans des pipeaux de roseaux.

Les petits hommes étaient tous vêtus de vert avec des bonnets rouges et leurs barbes se trémoussaient en mesure. Tom s’amusa beaucoup du spectacle et ne pu s’empêcher de leur crier : « Faut-il vous raser – faut-il vous raser, vieux crânes rouges ? » Il les héla ainsi deux fois et se trouvait au point de recommencer quand tous les danseurs, et des centaines d’autres qu’il n’avait pas vu, coururent se mettre en rangs, armés d’arcs et de flèches, de lances et de frondes. Aux sons d’une marche militaire, les Korrigans s’approchèrent, grandissant à mesure qu’ils avançaient. Leur aspect redoutable effraya tom au point qu’il s’enfuit prévenir ses compagnons, les sortit de leur sommeil et leur cria de remettre la barque à flot sous peine de mort. Alors qu’ils couraient vers la mer, il leur tomba sur le dos une pluie de cailloux « qui brûlaient comme des charbons ardents ». Ils avaient si peur qu’ils gagnèrent le large avant d’oser se retourner, sachant pourtant qu’ils étaient en sûreté car nul korrigan n’irait mettre le pied dans la mer.5

Quand ils purent jeter un regard vers la côte, ils virent une armée de créatures les plus laides qu’on puisse imaginer. Alignées sur la rive, elles faisaient toutes sortes de gestes menaçants. Enfin à l’aube, on entendit approcher des chevaux, et le petit peuple disparu dans les dunes.

1 juin 2005

PtiTE HIsTOiRe TOi Ki PAsSe PAr LA !:

L’avare sur la colline

Il est une colline des Cornouailles, appelée Grump, près de Saint-Just connue comme le rendez-vous des efles. On les voit se réunir dans des vêtements de fête pour danser faire ripaille et composer de la musique.

Bien que les esprits répugnent à toute intrusion en leur domaine, les spectateurs courtois étaient bien accueillis et même quelques fois recevaient de menus cadeaux non sans valeur.

Il y avait un vieil avare qui pensait tirer bénéfice de ces réjouissances. Il partit un soir dans l’intention de voler tout ce qu’il pourrait au petit peuple. Aussitôt sur la colline il entendit la musique bien qu’il ne pût rien voir. A mesure qu’il montait le son s’amplifiait et, soudain, le sol s’ouvrit sous ses yeux. Il en sortit un essaim de petits personnages, un groupe de musiciens, une troupe de soldats et une horrible bande de Korrigans, les gardiens des collines et des trésors de Cornouailles. Le vieil homme hésita un instant, mais la peur le quitta bientôt, car il était bien plus grand que tous ces esprits.

Pendant ce temps la colline toute entière s’était illuminée de millier de joyaux accrochés aux brins d’herbe. L’avare ouvrit de grands yeux émerveillés devant les tables garnies de la plus belle argenterie incrustée d’or et de pierres précieuses.

Puis la cour des Elfes apparut dans toute sa splendeur : les princes et les princesses des fées s’avancèrent jusqu’à la grande table, la plus somptueusement décorée. L’avare voulut se jeter sur toutes ces richesses. Il s’aperçut trop tard que les Korrigans avaient lancés sur lui des cordes étincelantes et qu’ils ne le quittaient pas du regard.

Soudain tout fut plongé dans le noir. Le vieil homme se sentit bousculé, percé de toutes parts et pincé de la tête aux pieds. A l’aube, notre avare se retrouva les quatre fers en l’air au pied de la colline, couvert de toiles d’araignées humides de rosée …

1 juin 2005

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